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les IDE au Maroc

9 mai 2015

Les Sources

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8 mai 2015

Les Challengers

 

 

Des secteurs comme celui de l'offshoring, de l'agroalimentaire, des énergies renouvelables ou encore du textile ont connu un essor considérable ces dernières années, a poursuivi le DG par intérim de l'AMDI.

Evoquant le rôle que joue l'AMDI, Adil Chikhi a rappelé que sa mission est d'établir une structure d'accueil et d'orientation pour les investisseurs, ajoutant que c'est également un organisme chargé de la coopération et de la coordination des activités de promotion, autant au Maroc qu'à l'étranger.  "A travers son réseau international et un éventail de partenariats institutionnels avec l'ensemble des administrations marocaines ainsi qu'avec les acteurs du monde privé, l'AMDI offre un service public, gratuit et professionnel à tous les investisseurs", a-t-il poursuivi

Offshoring :

La situation géopolitique du Maroc, son économie, ses infrastructures et le climat d'affaires qui y règne font du 

pays une destination prisée dans la région MENA, depuis l'adoption du Plan Emergence en 2005, notamment dans le secteur des services Offshoring/Nearshoring.

De nombreuses autres raisons peuvent vous pousser à choisir le Maroc.

Les principales seront :

  • La proximité et la stabilité du Pays ;
  • Ses ressources humaines ;
  • La Qualité de ses Parcs et infrastructures ;
  • Destination Best Cost

L'agroalimente

agroalimentaire

La  filière agroalimentaire représente un des secteurs industriels moteurs de l’économie marocaine. Il est le premier secteur industriel du pays bénéficiant d’une forte demande intérieure et internationale.

La filière contribue à environ 35% au PIB industriel (8% du PIB national). Elle réalise une production de plus de 80 milliards de DH, dont 25% destinés à l’export.

En terme d’investissements, le secteur a reçu près de 16 milliards de DH d’investissements sur la période 2004-2008. Il rassemble aujourd’hui 29% des entreprises industrielles, employant plus de 90.000 personnes.

Pour favoriser l’investissement dans le secteur et renforcer son tissu entrepreneurial, le Maroc prévoit plusieurs initiatives, notamment à travers le lancement du Plan Maroc Vert donnant un nouveau souffle au secteur :

  • la mise en place d'un réseau de 6 agropoles à Meknès et dans les régions de l'Oriental, Souss, Gharb, Haouz et Tadla
  • le renforcement et la restructuration des filières existantes (fruits et légumes, corps gras, huile d'olive, agrumes...)
  • le développement de nouvelles filières à fort potentiel à l'export (transformation des fruits et légumes, produits de l’olive et de l’argan, les épices et les plantes aromatiques)
  • un soutien ciblé en faveur des « filières intermédiaires » en terme de compétitivité des PME et réduction des droits de douane

L’impact estimé se chiffre à 10 milliards de Dirhams de PIB

 

 additionnels et se traduirait par la création d’environ 24 000 nouveaux emplois directs à l’horizon 2015.

Les énergies renouvlables

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Dans le cadre de sa stratégie énergétique, le Maroc accorde une priorité au développement des énergies renouvelables et au développement durable. Avec des ressources solaires abondantes (un potentiel de 2 600 kWh/m²/an) et une position stratégique au cœur d’un carrefour énergétique (Connexion au réseau électrique espagnole par deux lignes de 400kV/700 MW), le Maroc offre ainsi plusieurs opportunités d investissements dans le secteur de l'énergie solaire thermique et photovoltaîque, notamment avec le lancement des programmes 

 

  • Le Projet Marocain de l'Energie Solaire: Ce projet de développement intégré vise la mise en place en 2020 d'une capacité de production électrique à partir de l'énergie solaire d'une capacité totale de 2 000 MW sur cinq sites : Ouarzazate, Ain Bni Mathar, Foum Al Oued, Boujdour et Sebkhat Tah. Les deux technologies - Concentrated Solar Power (CSP) et Photovoltaîque- sont envisagées pour ces différentes stations. Ce programme augmentera la part de l’énergie solaire dans la capacté électrique totale à 14% à l’horizon 2020 et évitera l'émission de 3,7 millions de tonnes de CO² par an.
  • Programme de développement du marché marocain des chauffe-eau solaires (PROMASOL): Ce prgramme vise l'installation de 440 000 m2 de capteurs solaires thermiques en 2012 et 1,7 million de m2 en 2020. En terme d’énergie thermique annuelle produite, ces chiffres correspondent à 1 190 GWh d’ici 2020. Ce programme évitera l’émission de 920 000 tonnes de CO2 par an et créera 920 postes d’emploi permanents.

Ces deux plans ont été conçus en tenant compte des Mécanismes de Développement Propre structurants suivants:


Textile 

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Le Maroc est un des pays où le secteur des industries «textile et habillement» (ITH) occupe une position de premier plan. Les dernières statistiques de l’enquête annuelle du Ministère du Commerce et de l’Industrie relatives à l’année 2003 révèlent que les ITH contribuent à concurrence de 42% et 34% respectivement à l’emploi et aux exportations du secteur manufacturier. Plus de 1700 établissements opèrent dans les ITH (environ 630 dans le textile et 1090 dans l’habillement), soit environ 22% de l’ensemble des unités industrielles. Elles génèrent 13% de la production, 17% de la valeur ajoutée et 14% des investissements du secteur manufacturier.

8 mai 2015

Les secteurs clés d'investissement au Maroc

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Des secteurs ont attiré plus de 3/4 des investissements directs étranges ( IDE ) au Maroc ces dernières années , selon l'Agence Marocaine de Développement des Investissements ( AMDI ) 


Industrie 

Face aux enjeux d'une économie globalisée en constante évolution, le Pacte National pour l'Emergence Industrielle (PENI) vise à construire un secteur industriel fort et à créer un cercle vertueux de croissance. 
L'Etat et le secteur privé ont scellé ce Pacte à travers la signature d'un contrat programme couvrant la période 2009-2015. En consolidant dans un document unique leurs engagements mutuels, les partenaires apportent à l'ensemble des investisseurs la visibilité nécessaire sur ce que sera l'industrie marocaine de demain. Cette formule contractuelle garantit par ailleurs la bonne exécution des mesures décidées en assurant la mobilisation de tous les acteurs autour d'actions précises, concrètes, concertées et budgétisées.
Agriculture 

Le secteur agricole contribue à hauteur de 19% du PIB national, partagé entre agriculture (15%) et agro-industrie (4%). Ce secteur emploie plus de 4 millions de personnes dont environ 100 000 dans l'agro-industrie. 
La nouvelle stratégie agricole, Plan Maroc Vert (PMV), mise en place par le ministère de l'Agriculture et des pêches maritimes, vise à consolider les succès acquis et à répondre aux nouveaux défis du Maroc en matière de compétitivité et d'ouverture des marchés. 
  

Energie

Face à l'incertitude et l'instabilité du marché énergétique mondial marquée par la volatilité des prix et la carence des ressources énergétiques, le Maroc se lance dans un défi majeur celui de la satisfaction de la demande de la génération actuelle à travers une approche de développement durable. 

Pêche 

Le secteur de la pêche au Maroc s’est doté d’une stratégie intégrée, ambitieuse et globale de développement à l'horizon 2020 baptisée « Halieutis». Elle vise la mise à niveau et la modernisation des différents segments du secteur de la  pêche ainsi que l'amélioration de sa compétitivité et de sa performance. 

Technologie d'information et de la communication (TIC) 

L’usage des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) est un facteur essentiel pour l’émergence de la société du savoir et peut activement contribuer au développement humain, à l’amélioration de la cohésion sociale et à la croissance de l’économie nationale.  L’enjeu pour le Maroc dans le secteur des TIC pour les années à venir est non seulement de pérenniser les avancées déjà réalisées, mais surtout de permettre l’insertion du Maroc dans l’économie mondiale du savoir, via une intégration amplifiée et largement diffusée des TI au niveau de tous les acteurs de la société : État, administrations, entreprises et citoyens. Le Plan Maroc Numeric 2013 a été construit autour d’une vision et des ambitions claires pour le Maroc, visant à le positionner parmi les pays émergents dynamiques dans les Technologies de l’Information et de la Communication. 

 

 Tourisme 

Les nombreux atouts et potentialités du Maroc lui ont permis de devenir une destination touristique fortement prisée. Avec des paysages contrastés et variés (3500 km de côtes, montagnes, déserts…), un riche patrimoine culturel (villes impériales, médinas, gastronomie et artisanat), le Maroc constitue une expérience touristique unique et diversifiée à seulement 2h30 de vol des principales villes européennes. 

 

  
Logistique 

La stratégie nationale pour le développement de la compétitivité logistique, qui a fait l'objet du contrat-programme 2010-2015, prévoit de réduire les coûts logistiques de 20 à 15 % du PIB. 

Portant notamment sur la réalisation de 70 plateformes logistiques dans plusieurs villes (2.080 ha) d'ici 2015, la nouvelle stratégie logistique du Royaume, ambitionne d'accélérer la croissance économique de 0,5 point de PIB par an, soit 5 points de PIB en 10 ans. 

 

  
Commerce et Distribution 

Le commerce intérieur contribue à hauteur de 11% du PIB et emploie environ 1,2 million de personnes soit 12,8% de la population active marocaine.  Le commerce intérieur a connu, durant cette dernière décennie, l’émergence de nouveaux modes de commerce et plus particulièrement les réseaux de franchise et de grande distribution

8 mai 2015

Ide au Maroc: Points faibles.

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En termes d’attractivité, le Maroc reste parmi les pays les plus prisés d’Afrique du Nord par les chefs d’entreprises étrangers.

C’est en substance ce qui ressort de la dernière enquête du Centre marocain de conjoncture (CMC) sur les investissements étrangers. Selon presque 80% des chefs d’entreprises enquêtés, le Maroc reste une destination attractive pour les investissements étrangers. Aucun pays voisin, à l’exception cependant de la Tunisie, ne semble être plus attractif que le Maroc dans ce domaine. «Une large fraction de responsables d’entreprises (43%) pense que la Tunisie est aussi attractive que le Maroc», indique l’enquête. Entre 70 et 82% estiment que des pays comme l’Algérie, la Libye, la Mauritanie et l’Égypte sont des destinations moins attractives pour les investisseurs étrangers.

Peut mieux faire…

Si les indicateurs semblent au beau fixe, la capacité du Royaume à attirer des investissements étrangers reste toujours en deçà de son vrai potentiel. Ainsi, plus de 95% des participants à l’enquête pensent que le Maroc peut mieux faire. Ils ne sont pas non plus nombreux à être confiants dans la solidité et la compétitivité de l’économie marocaine. Les avis sont partagés entre plutôt pas et tout à fait. Ce dernier point de vue domine avec 53% contre 43% pour les premiers. Comparativement aux pays similaires au Maroc ou concurrents, les patrons marocains trouvent que le code du travail, la fiscalité, la taille du marché du travail, la formation et la qualification et la simplicité d‘implantation sont des points faibles pour l’économie marocaine en matière d’attractivité.

Fiscalité, code du travail, implantations… ce qu’il faut améliorer

En conclusion, selon les grands opérateurs nationaux dans le domaine industriel, le Maroc est un pays attractif, possède de nombreux atouts qui font de lui l’un des champions en Afrique du Nord, mais qui doit encore mieux faire pour consolider sa position et renforcer son avantage. Si sa stabilité politique et ses infrastructures de communication sont les aspects les plus performants parmi tous ses atouts, des efforts restent encore à fournir pour attirer davantage d’investisseurs. Ces efforts sont à accomplir au niveau de la fiscalité du Royaume, mais aussi du côté du code du travail et des conditions d’implantation des entreprises sur le territoire national.

Cependant, les points faibles du Maroc restent nombreux. Le manque de capacité managériale et de moyens humains pour travailler à l'international conjugués à une réactivité insuffisante liée notamment à une bureaucratie peu efficace, sont autant de données qui pénalisent le développement de projets innovants. Sans parler des aspects financiers.

8 mai 2015

Pacte National pour l'émergence industrielle.

 

Discours Adressé À La NationPAR Sa Majesté Le Roi Mohammed VI à L’Occasion Du 55ème Anniversaire De La Révolution du Roi et Du Peuple 20 Août 2008

 "Aussi profonde qu'elle puisse être, la réforme institutionnelle ne peut aboutir que si elle est étayée par des réformes structurelles ou complémentaires qui devraient nous permettre de renforcer nos atouts économiques et sociaux, en donnant une nouvelle impulsion aux secteurs clés, notamment ceux de l'enseignement, de l'agriculture, de l'énergie, de l'eau, et du développement industriel. (…) Parallèlement, Nous appelons le gouvernement à adopter une nouvelle stratégie dédiée aux secteurs de l'industrie et des services et au développement des nouvelles technologies. Cette stratégie devrait être axée sur l'exploitation optimale des opportunités induites par la mondialisation en matière de flux d'investissements. Outre la consolidation de l'entreprise marocaine et l'encouragement de l'investissement industriel porteur d'une valeur ajoutée, cette stratégie devrait avoir pour vocation d'ouvrir la voie devant l'économie marocaine, pour qu'elle puisse investir de nouveaux créneaux industriels faisant appel à des technologies novatrices et disposant de marchés prometteurs pour écouler ses produits et ses services.

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Nos grandes orientations et nos programmes en matière de développement exigent la mobilisation de tous, de sorte que chacun puisse s'investir pleinement dans la conception et la réalisation de programmes novateurs visant à améliorer le vécu quotidien du citoyen, et à créer des richesses génératrices d'emplois pour nos jeunes. (…) Ils interpellent aussi toutes les forces productives de notre pays, avec au premier chef, le secteur bancaire. Concernant ce dernier, il faut désormais, mettre en place des mécanismes de pointe qui l'inciteraient à marquer de façon plus efficiente son adhésion à l'effort national de développement économique et social."

Préambule

Sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, Que Dieu le Glorifie, le Maroc est entré dans une ère de développement pérenne grâce aux choix clairs et irrévocables de construction d'un Etat de Droit, démocratique et ouvert sur le monde.

Face aux enjeux d'une économie globalisée qui évolue rapidement, comme en témoignent les transformations des secteurs industriels, les Hautes Orientations de Sa Majesté nous incitent à relever les défis et à tirer le meilleur parti de nos atouts en cernant avec lucidité les dynamiques qui sont à l'oeuvre, tout en éloignant la tentation de l'isolement.

Ainsi, tous les acteurs publics ou privés sont appelés à oeuvrer ensemble pour créer dans notre pays les richesses et les emplois qui offriront aux Marocains de meilleures opportunités de développement humain.

Le Pacte National pour l'Emergence Industrielle s'inscrit dans cette logique. En mobilisant et coordonnant les actions de l'Etat et des opérateurs économiques, il vise à construire un secteur industriel fort et à créer un cercle vertueux de croissance. Il consacre, en outre, les principes démocratiques du dialogue et de la transparence, l'importance des ressources humaines et la responsabilité sociale des entreprises.

L'Etat et le secteur privé ont scellé ensemble ce Pacte en formalisant un contrat programme couvrant la période 2009-2015. En consolidant dans un document unique leurs engagements mutuels, les partenaires espèrent apporter à l'ensemble des investisseurs la visibilité nécessaire sur ce que sera l'industrie marocaine de demain. Cette formule contractuelle est également une garantie de bonne exécution des mesures décidées en assurant la mobilisation de tous autour d'actions précises, concrètes, concertées et budgétisées.

 Vision et Objectifs

Le contrat programme vise à définir un cadre de développement comprenant toutes les activités industrielles, y compris les activités dites d'Offshoring. En revanche il ne concerne pas les industries liées aux produits de la mer et à la Chimie-Parachimie, secteurs traitésPAR ailleurs. Néanmoins, les chantiers transversaux liés à la Compétitivité des Entreprises concernent l'ensemble du tissu des entreprises marocaines, sans exclusive (y compris tourisme, BTP, etc.).

 Ce contrat programme a pour objet de préciser le programme de déploiement de la stratégie de développement industriel du Maroc. Il vise d'autre part à contractualiser les engagements réciproques de l'Etat et du secteur privé.

Le contrat programme a été conçu autour de trois idées fondamentales : 
• La nécessité absolue de focaliser les efforts de relance industrielle sur les filières pour lesquelles le Maroc possède des avantages compétitifs clairs et exploitables, à travers des programmes de développement dédiés .

 • La nécessité de traiter l'ensemble du tissu des entreprises, sans exclusive, à travers 4 « Chantiers Transversaux » majeurs, déclinés en un chantier de renforcement de la Compétitivité des PME, un chantier Amélioration du climat des affaires, un chantier Formation et un plan de développement de parcs industriels de nouvelle génération, dits «P2I - Plateformes Industrielles Intégrées».

 • La nécessité de mettre en place une organisation institutionnelle à même de permettre la mise en oeuvre efficace et efficiente des programmes.

Le contrat programme a pour but d'assigner au secteur les objectifs généraux suivants sur la période 2009-2015 : 
• La création d'emplois industriels pérennes et la réduction du chômage urbain .
• L'augmentation du PIB industriel.
• La réduction du déficit commercial.
• L'appui à l'investissement industriel, tant national qu'étranger .
• La contribution à la politique d'aménagement du territoire.

Le contrat programme est conclu entre, d'une part, l'Etat représentéPAR : 
• Le Ministère de la Justice.
• Le Ministère de l'Intérieur.
• Le Ministère de l'Economie et des Finances.
• Le Ministère de l'Agriculture et des Pêches Maritimes.
• Le Ministère de l'Education Nationale, de l'Enseignement Supérieur, de la Formation des Cadres et de la Recherche Scientifique.
• Le Ministère de l'Emploi et de la Formation Professionnelle.
• Le Ministère de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles Technologies.
• Le Ministère du Commerce Extérieur. 
• Le Ministère délégué auprès du Premier Ministre chargé des Affaires Economiques et Générales.

et, d'autre part, le secteur Privé représentéPAR : 
• La Confédération Générale des Entreprises du Maroc, 
• Le Groupement Professionnel des Banques du Maroc.

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7 mai 2015

IDE au Maroc : Points forts

 

gestion-entreprise-montpellier

 

Cinquième puissance économique d'Afrique, le Maroc a depuis longtemps engagé une diversification de son économie. Le secteur tertiaire pèse aujourd'hui environ 50 % de son PIB. Résolument tourné vers l'international, Rabat poursuit sa politique d'accords douaniers et la construction de grandes infrastructures, comme Tanger Med. L'équipe du cabinet de conseil Mazars à Casablanca donne les 10 points clefs du Maroc.

Le Maroc a plusieurs atouts en ce qui concerne les IDE , a l’instar un cadre juridique et des mesures d'accompagnement très favorables aux investisseurs, des salaires encore relativement faibles, une position stratégique non loin de l'Europe, la très grande proximité géographique du Maroc avec l'Europe (14 kilomètres, via l'Espagne), confortée par les divers réseaux de communication et d'échange, denses et fortement structurés avec ce continent, confèrent au Maroc une place particulière de trait d'union naturel entre l'Europe et l'Afrique. par ailleurs, son appartenance à la « zone MENA » -Afrique du Nord-Moyen Orient – donne au Maroc un ancrage particulier parmi les autres pays du pourtour méditerranéen et le statut singulier d'un pays-carrefour des civilisations arabo andalouse et occidentale, on peut citer également une population jeune et relativement bien formée Le Maroc est peuplé de plus de 30 millions d'habitants, dont plus de 50 % ont moins de 25 ans, et fort d'une élite en croissance rapide (formée aux meilleures universités et écoles d'ingénieurs), le Maroc dispose d'un bon capital humain capable de travailler dans plusieurs langues : le français comme langue de travail, l'arabe comme langue officielle tandis que l'anglais et l'espagnol sont fréquemment utilisés. C'est la garantie pour les entreprises d'avoir des équipes qualifiées et disponibles.Sans oublier que le Maroc a reconnu une croissance  forte et rapide aux cours des dernières  années, L'émergence de nouvelles activités et la consolidation du processus de diversification économique du Maroc ont renforcé le secteur tertiaire qui pèse environ 50 % du PIB, alors que le secteur primaire (agriculture, pêche, élevage) et le secteur secondaire (industrie de transformation, énergie, mines, BTP) représentent respectivement 13 % et 37 % du total. A son tour, Le PIB par habitant, qui avait augmenté de 1 % en moyenne annuelle durant la décennie 1990-1999, a enregistré une progression annuelle de 3,5 % sur la période 2000-2008.Dernièrement le Maroc mène une politique délibérée d'ouverture sur l'Afrique subsaharienne en déployant des efforts constants dans les domaines de la diplomatie et des affaires pour exporter ses capitaux et son savoir-faire. Ainsi, depuis dix années maintenant, plusieurs groupes marocains ont consolidé leur présence dans les principaux pays d'Afrique francophones tels que la Mauritanie, le Sénégal, la Côte d'Ivoire, le Gabon, le Cameroun, la Guinée...

C'est notamment le cas des banques (Attijariwafabank, BMCE, Groupe des Banques Populaires), des transporteurs (RAM, COMANAV), des opérateurs de téléphone (Maroc Télécom) ainsi que de divers acteurs dans les travaux publics et les BTP.

Pour clore , le Maroc est l'un des pays les plus attractifs en Afrique , mais les potentinels qu'il possède pousse pas mal de personnes à poser les questions suivantes : quelles sont les contraintes qui empêchent le pays à améliorer de plus en plus son attractivité ?

7 mai 2015

Introduction au blog

L'investissement Direct Etranger est une activité par laquelle un  investisseur résidant dans un pays obtient un intérêt durable et une influence significative dans la gestion d'une entité résidant dans un autre pays. Cette opération peut consister à créer une entreprise entièrement nouvelle ou, plus généralement, à modifier le statut de propriété des entreprises existantes. Sont également définis comme des investissements directs étrangers d'autres types de transactions financières entre des entreprises apparentées, notamment le réinvestissement des bénéfices de l'entreprise ayant obtenu l'IDE, ou d'autres transferts en capital . IDE est au centre de la problématique de développement. Il occupe désormais une place de choix dans la plupart des pays du monde du fait de la convergence de deux préoccupations : celle des entreprises cherchant à s'internationaliser et celle des gouvernements qui cherchent à attirer de plus en plus de capitaux.

Les ide constituent l’un des principaux catalyseurs du developpement humain et leurs avantages sont bien connus. L’IDE a des retombés technologiques, contribue à la formation de capital humain, facilite l’integrationaus échanges internationaux, crée un équilibre sur la balance des paiements, favorise la création d’un climat plus compétitif pour les entreprises et améliore le développement des entreprises. Tous les facteurs cités contribuent à l’accélération de la croissance économique du maroc. De plus, au-delà de ses avantages strictement économiques, l’IDE peut aider à améliorer les conditions environnementales  et sociales dans le pays d’accueil, par exemple en transférant des technologies ‘ plus propres ‘ et en amenant les entreprises à avoir des politiques plus socialement responsables.

De plus, l'investissement direct étranger, est un vecteur important de la mondialisation, connaît actuellement un développement considérable. Son essor traduit d'une part, l'intensification par un nombre croissant de sociétés multinationales de leurs activités à l'échelle mondiale sous l'effet de la libéralisation de nouveaux secteurs à l'investissement et, d'autre part, l'existence d'un surplus d'épargne notamment européen en quête de meilleurs placements continuant son expansion au 20éme siècle, l'investissement international s'est particulièrement renforcé depuis la décennie 1990, touchant les différentes zones de la planète mais surtout les pays développés et dans une moindre mesure les pays émergents.

Au

IDE

 Maroc les premiers flux de l'investissement étranger ont fait leur apparition au début du 20éme siècle avec la mise en place du régime de protectorat. Depuis lors, ces flux ont connu des hauts et des bas en fonction des considérations politiques et économiques, ces investissements ont touché divers secteurs d'activité, mais a des niveaux différents.Les autorités marocaines ont su attirer au cours des dernières années un flux relativement conséquent de capitaux étrangers, s'appuyant essentiellement sur le programme national de privatisations, la conversion de la dette extérieure en investissements et les opérations de concession de services publics. D'autres secteurs ont pris le relais, notamment le secteur bancaire, le tourisme, l'énergie et l'industrie. Toutefois, le niveau des IDE reste modeste et pourrait apporter une contribution plus forte au décollage économique du pays.Face aux tendances futures de l'investissement international sur les plans géographique et sectoriel, et partant des modalités d'intégration du Maroc dans l'économie mondiale, ce dernier afortement intérêt à s'interroger sur la place qu'il pourrait occuper dans le cadre de la concurrence de plus en plus accrue pour attirer les capitaux étrangers et aussi les secteurs cibles nationaux qui présentent le plus d'atouts pour attirer ces investissements. Les potentiels humains économiques et naturels du Maroc peuvent permettre à notre pays le passage au groupe de pays où se dirige intensément l'investissement international à condition qu'il réussisse à mettre en oeuvre une vraie stratégie de dynamisation économique et sociale, condition de base de l'éclosion de l'investissement aussi bien national qu'étranger.

     On va vous présenter dans ce blog tout ce qui concerne le sujet des IDE au Maroc . Les points forts et faibles du mouvement des investissements au Maroc ainsi que les secteurs principales contribuant au dans ce sujet ainsi que les secteurs challengers.

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les IDE au Maroc
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